Quelles bâfrées de moucherons dans ces tours et ces glissades constamment renouvelés,lorsque les becs sont larges ouverts et les coups d’ailes le plus justes possible!Un détail vient tourmenter ma contemplation:par instants je vois l’une ou l’autre des hirondelles retomber et pénétrer sous le porche de la ferme:là,dans cent nids de terre sèche,entremêlée de brins de paille,jacassent des bec jaune clair,grands ouverts,avides d’une pâtée constamment attendue.